Je caresse le souffle du vent à l’aide d’un large pinceau, Une couverture en soie gris-argent Pour ressentir le doux murmure De l’eau.
Je caresse les ailes des oiseaux à la force de mon âme, bel esprit. Une toile sur la voile d’un bateau, Pour admirer les étoiles à L’obscurité d’une nuit.
Je caresse la flamme de l’amour Au tison des sentiments entremêlés. Une vague de parfum sans détour, Pour découvrir l’infini Dans ton cœur passionné.
Je caresse le fil de nos vies à l’abri des fantômes du passé. Un arc-en-ciel étendu sur le lit Des toujours, les jamais C’est assez !