Je patine mon printemps à l’ombre d’un avril romantique, Un seuil de jardin timidement évanescent Entouré de mille colombes, Un voyage en terre authentique.
Je patine mon été Au soleil d’un juillet sous Les tropiques, Parfumé avec soin et volupté Au henné Avec charme pour éviter de retomber Dans un rêve utopique.
Je patine mon automne Au gré d’un novembre rougeoyant, Nuancé par des couleurs qui Tourbillonnent Comme un feu de prairie, Un souvenir incandescent.
Je patine mon hiver à la neige d’un mars frémissant, Nimbé dans les couvertures Sous le froid polaire à grelotter tendrement à la recherche D’un délicieux fondant… … au chocolat.