Les parapluies sont ouverts, Nos larmes ont coulé, Que reste-t-il de nos frères, De nos sœurs sinon une colère Inavouée ?
Les parapluies sont en noir, Nos souvenirs sont malheureusement Endeuillés Par un massacre qui nous plonge Dans le désespoir, Un vide émotionnel que l’on N’avait vraiment pas demandé.
Les parapluies sont au sol, écœurés par toutes ces vies Que l’on a réduit au silence, Camisole De l’âme, des sens à jamais Anesthésié par la folie… … des hommes.