Michel, il y a des silences Interminables, Des centaines de maux qui se Dressent sur nos tables. « Des rêves et des mots, Des larmes sur le piano, Des cendres et des larmes, De la musique douce Dans ce vacarme. »
Michel, il y a des mélodies Inoubliables, Des chansons enivrantes qui S'écrivent sur le sable. « D'un papillon à une étoile, Des grands esprits qui Se dévoilent, Des rires et des chants, Des souvenirs pour les amants. »
Michel, il y a des chagrins Inévitables, Des prières, des lendemains Qui nous déchirent Et nous accablent. « De ton paradis blanc, Des refrains d'argent, Des vérités et puis Des doutes, Des illusions Qui nous déroutent. »