Rivalité, tu es le miel de nos Insanités publiques, Le fil de la réalité perdu dans les Méandres d’un esprit passablement hérétique. Une pointe de sel parsemée sur l’ivoire De nos convictions erratiques, Comme une porte de prison dans la mémoire D’un pauvre pion à la conscience post-apocalyptique.
Rivalité, tu es la pulpe du fruit amer De l’envie, Le jus de l’insouciance, ingérence d’un organisme Qui souffre d’un manque infini De confiance, assurance qui ne lui a pas été donné par les autres, un oubli. L’ignorance est-elle une échappatoire qui Permet d’être cauteleux toute sa vie ?
Rivalité, tu es le fiel de nos imprécations Délivrés, Un philtre d’omission sur le trottoir de Nos émoluments liquidés. Une zone érogène de l’insensibilité qui S’est subtilement développée Durant la fin de l’adolescence, Intransigeance d’une génération aux aguets.