Marchons enfants Un train passe, un regard Un sourire, des pleures Jamais seuls, eux. Se croisent. Mais qui se croisent les émotions ou les hommes ? Parlons enfants... Un train à quai, Je gare mon sac. Je croise un regard qui pleure. Je m’assied et sourie. Le temps passe, cette prose est longue Mon train se gare à quai. Seul, je m’en vais vers les miens Mais après quelques pas Je remercie et dis au revoir Regardons enfants Il est illusoire de ce fermer à l’autre. Nous ne sommes jamais seul… A qui veut l’entendre. ! ! Parlons ensemble