Je pars noué dans le sillage du silence La fièvre dans mes yeux moins de jolie Plein d’amour ou d’autres petitesses Son parfum comme un maliocre à mon cou confondu Est un soleil rouge quand elle dit je t’aime Ou quand elle plonge nue dans ma couple La poésie est aujour’hui la limite blanche de mes folles esp Et je ne vis que par le rêve crochu Qu’elle dddessine avec les yeux Et la rotation maladroite des mots Quand elle s’en va avec la nuit dans sa chambre La nuit est un secret Et tout le monde le sait Une chandelle perpétue la lumière Pendant que le jour s’égoutte dans ses paumes orphélines On dirait un triangle mou ou le Morne la Selle Quand je traverse sa mémoire comme deux miroirs parallèles Ou quand le temps veut que je parte.
