Par la fenêtre le vide grisâtre d’un matin d’automne. Dans le bois, verts et rouges se mêlent : palette monotone. Que pourrait-on y voir d’autre, car ce n’est rien de plus Qu’un cycle qui s’approche de la fin et continue.
Et la pluie ruisselante se déverse sous mes yeux Sans cesse qui traverse un ciel malheureux. Et nos regards évidés, d’un espoir misérable Cherchent, sans trouver, le soleil et ses fables.