Pourquoi pensez-vous donc que j’aime celle-là ? Ailleurs n’y a-t-il pas d’autre Pascalitsa ? Source de vrai bonheur, m’offrant tous les plaisirs, Comblant au gré des nuits les plus ardents désirs, Alimentant toujours par de simples caresses Les chaudes voluptés de la bouche et des fesses. Il n’y a pas sans elle de plus heureux instants Tels que n’en connaissent les plus chanceux amants ! Son tendre et doux sourire dénué de fausseté A rempli toute ma vie d’une vraie félicité.