J'allais à travers la forêt l'âme vide et lourde paraitre et dans chaque feuille sur ma vois retrouvée je reliais tes lettres
ces belles paroles beaucoup aimées qui ont fait vibrer mon coeur à surprendre... Je mordais mon âme pour ne pas pleurer mais je parais mordre la cendre.
Mon âme était un crumble des statues tombées, petit à petit, par un démon en démolissant en moi l'éternité vêtue en bougies allumées, au temple de personne.
Comme j'avais commencé ce conte les yeux rêveurs de vagabonde et les pensées portées loin par le vent vers tous les coins du monde!
J'étais heureuse, chaque mot, chaque fois chacune de tes pensées où je me trouvais chez moi et confiante j'étais...
Alors, d'où il est apparu ce froid de la mort et tout ce désert, assez cru?
C'est comme si toute la forêt s'est tue, les oiseaux dans tous les arbres sont restés comme des statues, et les fleurs fondent dans les marbres et dans toute lointaine qui m'entame je ne trouve plus une seule vérité l'une seule, à l'inculquer à mon âme l'une, au lieu de toutes les vérités d'hier...
Je me suis assise sur l'herbe, épuisée, mon corps était lourd comme un cimetière j'avais envie de pleurer chaque feuille me rappelait une lettre d'hier lettres que je voulais effacer avec mes larmes, car elles étaient mes chers souvenirs trop douloureux quand mes pensées dansaient souvent d'un coeur bienheureux, emportés par le vent aux quatre coins du monde, et j'aimais chaque pourquoi et chacune de tes pensées fécondes auxquelles je me sentais chez moi... Alors, au lieu de pleurer, Parmi les fleurs j'ai sourié, Mais mon sourire me blesse, tout comme un pleur...