Tu es venu des lointains, Une danse aux étoiles bleues et sauvages, En creusant sur les froides étendues de mon ermitage, Une frémissante vague océanienne.
J'ai siroté ton âme en effleurant Des sauvages lotus sur le vert gravier, Surprise de l'infini de ton esprit fier, Ignorant la perte, en te perdant.
Ça c’est passé... Il m'est resté, après t’avoir perdu, Un charme que tu m'as tout le temps caché, Me sont restés bords nus et, assoiffée, Ma peine de ne t'avoir jamais connu...