Tu apparaissais assez rarement, De tes pays des contes, des princes et fées, Comme une fin oubliée par le commencement, En défiant la malédiction d'encore rester...
Les bergers te regardaient chaque fois, Questionner les immenses neiges païennes, Avec les grands ermites en argile, dans les bois, De ta vieille foi, océanienne.
Ensuite, tu t'es perdu parmi les neiges De ta dignité, assez lointaines... Je regarde souvent après le cortège, En attendant, toujours, la fois prochaine...