Détruis de l’intérieur Je m’exalte au grand coeur. Je jouis du grand bonheur Devant ces gens étranges, Riants tous aux anges Tandis qu’ils me dérangent, De me voir là mourir. Je m’étends sur les nuages, Regorgeant d’une pluie lourde, Percée par une épée. Mon coeur pourtant fidèle Reste sans foi ni loi, Et prit d’une gaieté Quitte ce monde austère, Où mon âme n’en peut plus Fuyant, S’élevant, Partant, Vers le Ciel larmoyant.