Noyés dans leur excès ils meurent, Tel l'espoir que le feu et la tempête consument. Là, je veux ancrer mon immuable demeure, Abattre ton armure et repousser ta plume.
Dans tes yeux les flammes dansèrent, Ce reflet qu'incorpore la haine. Tic-tac, et la fleur se fane.
Pour cela je contemplerais de ma cabane Les ténèbres qui s'écoulent de mes veines. Et du corps, n'en reste que poussière.
Las de mon cœur éreinté Emporté dans la tombe. Si tu laisses la flamme brûler, Je rejoindrais le pays des ombres.