IL y a des houles Qui marchent vers la terre Avec une force titanesque Je la tenais par la main Elle me suivait romanesque Mais son côté sybilin Grisé par l'embrun Me l'arrachait des mains Ma transparence d'homme Ce mâtant fantôme A pour énergie Toute la mer et le ciel réunis Mes écumes comme mes désirs Sont nées hors temps hors espaces Ils fusionnent un moment Avec la mer et ses spasmes Unte tempête dommée désir J'étais toute la houle Elle était goutte d'eau Perdue dans le flot Et je voulais mourrir.