La livrée de l’ivraie est livrée sans livret : C’est l’ivresse des livres délivrée des lits, vrai ! La paresse des parts, départ, restent les bas. Pâle, sent le ressac du sacre sans l’ébat,
Là-bas la balle bat le bât, et le débat Se débat et des hauts sans des bas, sans dés, bah ! Barbares et barbeaux et barbeaux sans bobards, Les barjots sont jobards, les tocards au beau bar.
Aux barres, part à l’aile, parallèle aux grammes, Au gras me gravite, vite, évite l’ogre, âme. Ah, je m’essouffle, zou ! Souffle souple sous fleuve,
Je décuple et découds, des couples et des coups pleuvent, A preuve que l’épreuve éprouve le rimailleur, Et prouve le rimeur s’il trouve rime ailleurs.