Toi, mon chemin de gravel, Câline, que tu m'as fait traîner mes poubelles! Je t'ai cru hypocrite de me faire passer par tes ruelles. Dans mes folies perdues, J'ai souvent tombé dans tes rues.
J'ai chaussé des sandales, J'ai même tourné sa rue scandale! J'ai rencontré ta chum *Passion*, Tu la connais... c'est elle qui me fit perdre la raison.
J'ai mis des verres de contacts noir, Faut croire que ça m'aidait le soir. Elle m'a fait vister ma vie, C'est à ce moment que j'ai vu qu'elle était détruit.
Dans la vie parue injuste, J'ai émité les dauphins, Il fallait planter mes arbustes, Mais je me suis cassés les reins.
À un capitaine à bord j'ai demandé: Mettez vos voiles j'en peux plus de couler! Beaucoup plus loin j'ai retrouvé, Mon chemin de gravel un peu rouillé, Avec sa traine, couleur rocher, De ces satin d'ailes m'a replacé, Sur la rue: *Étoilé*.
J'ai finallement vu le bout de la fin, Et me suis repris en main.
La morale de ce que j'ai compris... C'est que les chemins de gravel faut les traverser, Même s'ils font parfois choquer, Que par de leurs robes poussièrées, Nous y trouvons la force d'aimer.