Le sablier du temps tisse sans cesse des souvenirs Comptant les années d'amour et de bonté bien relevées. Les fées du logis brodent les heures au fil des plaisirs Et hument le passé aux accents modernes colorées.
La fantaisie allège librement leur coeur attachant Lorsque toute logique de passion ou de raison Trouve avec métier le chaînon oublié ou manquant Et, du recueil des ans, les pages qui dictent des chansons.
Elles jouent leur vie sur des notes de tact et de sagesse Pour que s'accordent les minutes au rythme bien actuel Et au choeur grand des Pénates qui veillent avec allégresse.
Les Èves prochaines, en oracles, scanderont un rappel En tressant des hiers leurs actions améliorées. Pour bien comprendre, ces Femmes belles, à l'oeil universel.