Comme le vent Tu souffles ou tu veux On ignore d’où tu viens Et chez qui tu vas. Mais quand tu es là, Tu nous libère d’un grand tourment, Celui de rester là A fixer le néant En espérant un signe de ta part Qui viendrait salir la blancheur D’une âme qui attend. Et puis tu repars Vers d’autres horizons, Semer ton nom…