Le feu des sens sis au fond d'un cri loue la nuit. L'Aura enivre l'émanation grabataire. Susurre le souffle d’Hélios, le solitaire Sur ta chevelure qui crépite et qui luit.
A l'orée des neiges l'aurore cuivre tes sarments, Suaves instants qui voilent la buée d'une ère. O sage démiurge songe au-delà de l’éther, La larme de l'art entaille l'oeuvre de sang.
Le ravin d'un espoir écharpe mes pensées, La fragrance grise l'élan d'une éternité. Tout semble ébaucher les sillons d'une passion.
Le gueux se délecte du frimas intense, Magnificence de la réminiscence Par toi, demoiselle, qui
Et quoi ! Mais non Polymnie ! Je ne t'ai pas cocufiée ! Ne t'enfuis pas ! Aïeux aidez-moi ! Mon sonnet !!! Ma Muse !!!