Je me recueille dans ce cercueil, Façonné de tes mots et de tes coups, Construit de tes cris et de ton orgueil, Qui ne cesseront de me suivre partout.
La nuit récolte mes larmes coulant à flot Mais tu continues de me faire chavirer. Je pensais pourtant que tu faisais un beau matelot, Mais maintenant je manque de tomber du mauvais côté.
Mais je suis maintenant emprisonnée Dans cet Amour que je t'avais voué Et qui ne cesse de m'étouffer, Si bien, que je risque bientôt de succomber.