En un beau soir d’été où la lune était douce Une blonde chantait sous les ramées obscures Sa voix ample et discrète, son regard très pur Se perdaient, éternels, dans la fraîcheur des mousses.
Y rêvait un poète et son luth, apaisés. Et sous le firmament, jusqu’aux bleus horizons S’exhalait aux cieux, patiente communion Le chant paisible et sûr de la fidélité.