J’adore d’une amour douloureuse et profonde Quand au solstice de l’été j’aime à venir rêver Et que les vents des nuits, tendres, t’ont vue pleurer. Leur souffle tiède et bleu, en pluies d’étoiles blondes Fera monter le vin d’une larme en mes yeux Au goût amer, hélas ! d’absence et d’adieu.