En ce mois de septembre, au terme de l'été De l'an deux mille sept, flotte, au Mistral, l'emblème Accueillant la venue du centième Poème, Apportant à mon coeur la joie d'être fêté.
Je veux le dédier aux Muses poétiques, Et aussi, tendrement, à nos chers Disparus Qui, pendant mon travail, me sont tous apparus Dans des moments sacrés, fervents et pathétiques.
Je le dédie aussi au Monde des Vivants, A ceux qui m'ont offert leurs avis motivants, A l'Epouse chérie, à mon Fils bien aimé,
Aux Parents, aux Amis... A tous, je suis à l'aise En leur disant merci pour avoir animé Des heures de bonheur de "POESIE FRANCAISE".