Témoin de notre vie, un kaléidoscope, Aux miroirs plus brillants que l'eau des diamants, Observe les douleurs dans les coeurs des amants, Quand le bonheur s'écourte en brutale apocope.
Où se forgeaient jadis les projets d'avenir, Leur chaise attend toujours, sous le saule pleureur, Le retour tarissant leurs sources de malheur. Revenir, convenir, devenir... souvenir !
La fugue, pour sa part, même de courte absence, Anéantit les joies du poids de son silence. Que dire des Esprits vaincus par "l'Alzheimer" ?
Que penser d'Atropos, Parque artisan de mort, Chargeant ses noirs vaisseaux pour atteindre la mer, D'où aucun passager ne reviendra au port ?