Un ruisseau de lumière doucement coule en aval Le silence y dort, le pouls de la vie bat lentement sous des rochers imputrescibles Ton visage, et puis l’éclat de ta peau de pêche, ah! les petits remous de mon sang aux cailloux multicolores de ta beauté Ta tête folle comme un matin venteux Une étoile se lève sur ta bouche, des météores de plaisir crépitent dans tes yeux Mourir veines ouvertes au creux de ta main ronde