Sans la vue j’explorerais chaque ligne de tes courbes du bout des doigts. Sans l’ouïe je me concentrerais sur le mouvement de tes lèvres. Sans l’odorat j’écouterais s’exhaler l’air de ta vie. Sans le goût j’humerais la fragrance inouïe de ta peau. Sans le toucher je goûterais tes monts et tes merveilles. À mes cinq sens qui s’exacerbent, en ta présence, et se complètent dans l’effervescence…