J’ai tué le temps toute ma vie, C’est donc au poète que je suis De me délivré du mal De cette ombre encéphale.
La rose ce libère de ses mortelles épines Comme moi je me libère de ces êtres indignes, Ôter moi cette moumoute de sur votre crâne, Délivré vous du mal, et montez sur votre âne.
De ce temps pittoresque, de cette vallée champêtre, Peinturlurer ce beau paysage pour vous rappeler Que vous, vous êtes délivré du mal qu’avait votre être.
C’est en écrivant que le poète ce libère du mal, Alors il est en mon devoir de rapiécer Mon cœur qui s’était infligé tous ce mal.