C’est à la fonte des neiges et des glaces Que l’étendue d’eau prend une formalité. Le vent bourrade les bourgeois en fétidité Les guidant vers l’oasis, ces ignobles rapaces.
Devant une foule d’inconséquents, Le lac, lui, est seul et venteux Voulant renouer le calme heureux Des entretiens glorieux auprès du vent.
Le bruit des sottes gens Croise la voix du vent ferme et brave, Me rappelant ces intransigeants.
Les arbres eux, ne font que regarder leur feuilles Repousser d’un temps ciel clair et suave, Mais pourtant en deuil.