Jamais un autre nom ne m’a autant aimé, En aussi peu de temps, sans même me connaître. Tu as les plus beaux yeux, je dois le reconnaître, Avec eux dans les miens, un amour a germé !
Imagine un instant tout le temps qu’il nous reste, Marchant main dans la main pour éviter les murs, Entraînant vers un tout nos deux sentiers obscurs, Priant pour vivre ensemble un bonheur manifeste !
Oui, oui, c’est toi que j’aime, à la vie à la mort. Un soir je t’ai connu et j’espérais ensuite, Retrouver ce sourire exempt de toute fuite !
Ton coeur est la prison de ma flamme éternelle. Je ne veux plus penser à ce passé sans elle, Sis avant que son corps soit venu en renfort !