Voici, avec mes mots, mon passé en poème. Je naquis d’une faille au bout d’un bouclier Qui devait m’empêcher de naître en février Et de pleurer mon sort au moment du baptême.
Je fus, pour elle et lui, une charge suprême À traîner sur un dos sans pouvoir l'oublier. Tandis qu’elle obstruât le fond du cendrier, Il prit congé des lieux grâce à un stratagème.
Vous savez tous qu’il est des actes dans la vie Qu’on ne peut excuser, quoiqu’on en ait envie. Pour ce faire, il faudrait un nouveau sablier !
Un jardinier se doit de cueillir ce qu’il sème, D'exhiber son bonheur au lieu de le nier. Voilà, finalement, la source du problème !