L'oiseau qui me réveille N'attend pas mes nouvelles S'en va car l'aube l'appelle
L'eau qui coule Ne s'attire pas de mon visage Il va aussi à l'aise Mouillant à ceux qui le croise
Même le soleil qui m'ofrre ses rayons Ne perçoit pas le froid de ma saison C'est sûr le chaleur à quelqu'un Mais comme oublier le froid de mon chagrin ?
L'oiseau, l'eau et soleil Pourriez-vous m'enseigner Le secret de s'évader En trouvant à chaque aube Les rêves en realité ?