Petite lumière perdue dans l'univers, Tu cherches un repère au milieu de ces vers. Dans ce brouillard épais, un halo apparaît, Tu n'en vois que les traits mais l'espoir y renaît.
Et quand se lève enfin le voile du destin, La vie et son parfum t'indiquent le chemin. Tu découvres serein qu'il n'est pas une fin. Un monde de festins qui fait mourir de faim.
Comment quitter ce corps sans passer par la mort ? Aimer toujours plus fort pour se griser encor ? Ou s'emplir du plaisir de s'offrir des désirs ?
Les amours sont des sorts qui nous donnent d'abord Sentiment de franchir la douleur sans fléchir Mais qui jettent alors le venin qui en sort.