J’ai rêvé de toi mon Amante, nos corps entrelacés, Tu me chuchotais des mots d’Amour et de plaisir. Enfouis sous les draps j’oubliais mes désirs. Ta peau ferme que mes lèvres léchaient sans se lasser.
J’ai rêvé de toi chère Amante toutes les nuits tièdes, Essayant de t’étreindre ne trouvant que ton ombre, Comme un vieux Général guidant son escouade Vers une mort certaine par une vilaine nuit sombre.
J’ai rêvé de toi mon Amante me donner ta main, Jouer et s’amuser comme sur les sentiers et chemin Sourire un jour et l’autre me laissant sur ma faim. Triste au matin je ne pensais qu’au lendemain.
J’ai rêvé de toi mon Amour me tourner le dos, M’oubliant un instant me conduire par la main, Tel un enfant butant aux cailloux du chemin. Un veau égaré le menant à son enclos,
J’ai rêvé de toi mon Amante scrutant le Ciel, M’embrasser me dire notre bonheur virtuel Que c’était impossible de le vivre au réel, Tu souriais avec un regard de désir miel.
J’ai rêvé de toi ma belle Amante dans mon coin, Tu posais des questions que je comprenais point, Me disant que nous sommes du même sang au moins. S’étreindre dans un même élan et aller très loin.
Chaque nuit douce je rêvais de toi ma belle Amante. Ce bonheur infini de plaisirs habillé de soie, De deux amants aux yeux verts charmants. Qui choisirent pour toujours de vivre sous notre loi.
