Quand ma mamie me donnait une tranche de gâteau, Me disant tout bas « Pour toi ».C'était joli et beau., Je l’aimais plus, en écoutant ces tendres mots. Je lui faisais une grosse bise, oubliant mes maux,
Quand ma douce mère s’inquiétait de notre tard retour Des études, qu’elle passait son temps en nous guettant Avec impatience ; C’était l’affection et l’Amour, La poussant à ce dur attachement angoissant.
Quand j’étais malade, « vite chercher le Docteur ». Se rassurait quand je n’avais aucune douleur. Passait la nuit à mon chevet avec douceur Et au moindre doute d’un mal, appelait les secours.
C’était l’attendrissement ou l’Amour maternel ! Plus tard au lycée, avec une liberté charnelle, L’on pouvait faire la bise à sa belle copine seule. C’était plus un délice comme une goutte de miel.
Quand je me mariais, notre vie était toute tendresse, C’était le vrai Amour charnel plein de douceurs, De petits câlins à l’acte sexuel jouisseur Car sans tendresse, l'Amour ne serait qu’une caresse !
Avec mes deux enfants, respect et gentillesse, Nous liaient tous ensemble ; tous en liesse. Cela créait une complicité amicale. Les disputes donnaient du sel à la joie familiale…
Au fil des ans, grandissait le feu de l'Amour. Ma femme me cajolait, j’éprouvais une douceur ! Pleine de tendresse, désir sexuel qui volait mon cœur, Faisant l’Amour zélé sain dans un total bonheur,
Car sans la tendresse, l’Amour serait sans honneur ! Aujourd’hui, on savoure le temps avec bonheur. Voir grandir nos petits enfants dans la douceur, Cet attachement est le même qu’à notre première heure. !
