Quand je vois les étoiles et que regarde la lune….
Quand je te vois, mon être de ta beauté frisonne, Déesse des âges perdus gardienne des rêves secrets. La valse des étoiles tout autour encore résonne, Dans l’oreille du pauvre poète trop indiscret.
Ebloui par tant de mystères et de paresse Tu peux être amie et l’Amour pour toujours Ou ennemie et le malheur dans notre détresse, Ou jalousie avec soucis et chagrin chaque jour.
Tu peux être espoir pour les amoureux fidèles Ou désespoir pour ceux qui s’entretuent pour rien Rancœur avec aigreur pour les racistes débiles Vengeresse pour ceux qui ont perdu tout leurs biens
Les nuits de pleine lune tu pénètres les maisonnettes Où tu caresses les petits enfants dans leur sommeil, En veillant sur eux et leur faisant une risette Le matin tout souriant au lever du Soleil.
Combien de regards vers toi se sont levés ! Pour t’invoquer des maléfices d’une amante détestable, Ou d’une guérison d’une maladie incurable, Ou le Futur qu’on ne sait lire dans nos rêves.
O astre céleste, vous éblouissez l’Univers Entourée de vos étoiles d’argent scintillantes Qui dansent dans ce ciel bleu le bal de l’hiver Et vous rendent chaque soir la reine la plus pétillante
Je reste ébloui par votre impudeur et votre nudité Que personnes n’osent déclamer cette divine beauté. Les nuits sombres de pleines lunes tout le monde vous craint Les humains s’enferment à double tour dans leurs écrins.