En ces journées de crainte et de défiance, De ce même mois de Janvier sans méfiance; De deux embuscades j’en fus la victime, Quatorze ans séparant les deux crimes,
Le plus futé de vous butera aux cailloux, Restera un siècle sans trouver un mot, Cherchera en vain trouvera anormaux Ces écritures du beau Français d’un matou.
Premier crime des sanguinaires rebelles; Il y a de cela très longtemps primo, Je l’ai oublié et traîne des séquelles. Mon poème cite le second en mémo.
Cinq chats de goutière en connivence, Décidèrent de chasser la tête de granite, S’emmêlèrent des souris en mouvance, Et prirent partie avec les nazistes.
Ce poète aguerri sentit le subterfuge, Prit en flagrant délit les malfaiteurs. L’une faisait dans les concours du grabuge, L’autre volait l’Inspiration des auteurs,
Se réunissaient pour élire un des leurs. A tour de rôles s’épinglant des médailles, Sans se soucier des poètes les meilleurs, Donnant des strapontins aux fripouilles.
La pauvre tête de granite fit un recours. Tous en colère, l’ensemble de la basse-cour S’empressèrent de lui faire un discours, Le priant de se taire ou partir sans retour.
Ne dit-on pas que l’union fait la force, Décidèrent de le mettre en quarantaine. Aucun vote, ni com, votèrent le divorce, Suspension du Forum par la cheftaine.
Le Pauvre gentilhomme apposa son veto, Et se dévoila valant un zéro, Incita les autres membres à le suivre. Lui et ses amis copiaient tout dans les livres.
La tête de granite las et excédé, Par tant d’Injustices , décida de céder, De quitter ce site fachiste en seigneur. La loi du plus fort étant la meilleure…
