Oh que c’est triste de voir ce niais entêté, AU double visage, lécher les bottes de cuir De ses maîtres comme un chien très bête. Aboyer tout le temps pour séduire, Entrer dans les bonnes grâces de ces bébêtes : Merdoyer pour nuire et se détruire
Car moi, je considère comme flâmme, Ces provocations il les paiera Cher. Il se prétend pour un aède cet homme, Mais en fait il ne vaut pas cher. Il est à la solde de ces laids infâmes, Finira un soir sur un arbre perché
Le vrai homme se reconnaît à sa parole, Son comportement, aider le plus faible, Ecouter les autres, et donner son obole Aux plus démunis, ignorer les fables Tenir sa langue et fuir les foirolles. Respecter les gens au caractère humble.
PS/L’hommo-saurien est un être identique à nous qui a existé