L’homme qui voit l’ouvrage de tant de labeur détruit, N’écoute plus sa raison et n’entend que sa colère. Il se déchaîne contre ceux qui lui ont pris son fruit Où se résigne comme un esclave à reconstruire Dans le Silence et l’amertume d’un rêve sans bruit. O ! Injustice, Combien de gens avez – vous instruit ?
Combattre une ombre qui possède la manette de loin, Peut manœuvrer à sa guise tous les mouvements. Je préfère l’oublier dans ces instants dans mon coin Vaquer à mes occupations, certains moments, Des souvenirs, les provocations avec poings, Les laides Insultes et les injustes comportements,
Je préfère les belles randonnées en campagne Refouler cette colère sans pouvoir l’oublier Crier dans le Silence sans que personne ne saigne Crier mon Amour contre ces gens fous à lier Revoir ne serait-ce qu’un instant ma place au bagne Serein et contemplatif de cette arrogance.
Ce cri de coeur que nous feignons ne pas entendre, Et ce silence sournois que nous écoutons avec plaisir, N'est-il pas un signe qui nous fera de honte rougir! Et nous ouvrira les portes des Enfers pour nos loisirs.... Apparais Vérité de ton talon vainqueur Ecrase le mensonge impudique et moqueur.