Le vent hurle par la fenêtre entrouverte, Déchainé, Décimés les arbres, Abattus par la colère d’Eole. Divine rage qui emporte Feuilles, forêts, étendues et humanité. Que reste-t-il de mon cœur dévasté ? Seule l’image perdue d’un sourire envolé, échoué dans la tempête Déchiré par les vents cinglants, Les vents passant par la fenêtre de mon âme.