C'est sans espoir qu'il fuit cette réalité, Que le monde soit ou non fait pour lui. En se brisant la voix, il perdit le courage d'affronter Cette mascarade, qui l'obnubila, l'acheva sans répit. Ne serait-ce qu'une utopie, de rester dans l'attente D'un changement, soudain ou désiré ? Serait-ce juste une vérité inexistante D'espérer sans retour l'écho répercuté ? Aurait-il juste fallu une réponse, Plus qu'un assassinat injustifié ? Plonger son corps entier dans les ronces. Une ablation des sentiments l'aurait apaisé. Arrêter cette prétendue torture mentale, Avant qu'une fenêtre sur le monde ne l'aide. Ce n'est que le soupire le plus loyal, La cause pour laquelle il plaide.