J'aimerai bien t'emmener au dessus des vents Songe à l'air marin, au rosé des soleils couchants. Les grandioses kinkajous et paradisiers Dans la jungle se pavaneront l'air affectés.
Et puis nous tomberons tout droit dans l'abîme, Dans cette mer de tulle au dessus des cîmes.
Automne, printemps, été ou encore hiver, Le tendre frou-frou des aiguilles de notre horloge Cliquetera dans le fin fond de notre éther, Nous rappelera notre antique âme en vogue.
Et puis nous tomberons tout droit dans l'abîme, Dans cette mer de tulle au dessus des cîmes.
Imagine la chaude et affectueuse lumière Qui dansera dans notre douce clairière. Le sable fin se faufilant entre nos pieds, Nous mirerons la splendide Cassiopée.
Et puis nous tomberons tout droit dans l'abîme, Dans cette mer de tulle au dessus des cîmes.