Il a les yeux si noirs, le teint mate, l’air solitaire, Un coup de cœur,
Pour lui je ne devais être qu’éphémère, Je ne faisais pas partie de son plan, De son jeu qu’est la vie,
Pour partager son quotidien Il faut patience et détermination, Il faut approcher pas à pas, A son rythme sans jamais déranger son univers,
Tu n’as pas voulu me faire de place, Alors je pars tête baissée, Et larmes aux yeux, Tu n’as pas voulu ouvrir ton cœur,
Tu as rouvert ma faiblesse et ma fêlure, Un jour peut être guérira-t-elle ? Un jour peut-être tu repenseras à nous Et à ce qu’on aurait pu vivre et partager ensemble.