J'aperçu, une journée d'été, Ce qui devait être à jamais oublié. Et dans mon âme, ce jour-là, Plus aucune joie l'on ne trouva. Cette joiede vivre qui, en toi, rayonnait, Avait fini par me faire pleurer. Ce qui me plaisait tant en toi, mes yeux ne le comprenaient Toi, touchant mon coeur et mon âme, A tout jamais mon amour condamne. Pour cela n'oublie pas, Que je serai toujours là pour toi Toi, qui d'un seul regard M'a fait rêver du soir Où tu me prendrait dans tes bras Toi, oui, toi qui pourtant, Jamais ne m'aimeras.