Une étreinte, Si elle n’est pas feinte, Elle laisse son empreinte Dans l’âme atteinte Qui n’éprouve aucune restreinte.
Quel bonheur de se sentir blotti Dans le creux douillet et ami Qui se referme pour mette à l’abri Toute la tendresse réciproque Témoignée par chacun des deux cœurs. Je jure qu’il ne peut y avoir aucune équivoque : Ces deux là s’aiment sans vainqueur. Tant que la flamme n’est pas éteinte, Dans les yeux, la joie sera dépeinte.
Que dire de la femme enceinte Patientant sans aucune astreinte Jusqu’à l’arrivée du fruit tant attendu. Quelle récompense et quel bonheur éperdu.