Parfois, après maintes munificences Dans le tourbillon de la licence, Où se mêlaient lubricité, luxure et connivence, Mes belles osaient l’impertinence Pour m’accuser de fréquente négligence, Voire de malheureuse incompétence, Ou éventuellement de carence, Pendant mes rares moments de somnolence. Je trouve injuste la sentence. En fait, j’étais vidé de mon essence. En fait, j’étais devenu indifférence. Je n’étais pas victime de déliquescence, Mais de toute évidence, J’avais besoin de convalescence. En tous cas, je voudrais en cette incidence, Maintenir qu’il n’y a pas meilleure science ; Que seul sa majesté Amour est référence ! Que c’est le seul domaine de convergence ! Que c’est le seul royaume digne de révérence ! Qu’il n’y aura jamais meilleur bain de jouvence. Pour tout cela, j’en ais fais ma résidence Pour toute mon existence.