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Mahdaoui ABDERRAOUF

Falestine° vivra ! ! !




Que la malédiction foudroie ces racistes
Aux agissements aussi perfides qu’odieux.
Que la foudre pulvérise ces sales sionistes.
Honte à ces dégénérés ; honte à leur dieu.

Je n’ai jamais pensé que l’homme
Pouvait avoir de ces gestes inqualifiables.
Je savais tout ce dont l’homme était capable
Lorsqu’on le voit perpétrer des pogromes . . .

Mais, s’attaquer avec une telle sauvagerie
A de pauvres animaux domestiques
Pour se venger de ses adversaires politiques . . .

Face à cette haine emplie de barbarie,
Pas une personne digne de ce mot
Ne peut rester indifférente aux atrocités
Subies par un grand nombre d’animaux
Paisibles, innocents et se croyant en sécurité.

Ils ont torturé, mutilé et piétiné maints troupeaux.
Des troupeaux qui ne demandaient rien aux ignominieux ;
Des troupeaux qui ne demandaient rien aux acrimonieux
Et qui paient au prix fort la lâcheté des porte-drapeaux.

Devant ce fait accompli, moi, je m’élève solennellement
Pour crier mon dégout de certains juifs radicaux.
Devant ce fait accompli, moi je m’élève solennellement
Pour crier ma douleur et ma haine de ces cléricaux.

Ces ignobles bourreaux n’ont pas hésité dans leur macabre be
Ces immondes juifs ont surpassé leurs anciens maîtres.

Dans mon cœur dont les battements font mal tellement ils cog
J’entends la pitié et la tristesse qui ne cessent de renaîtr

Quant à ma colère, elle gronde et réclame vengeance.
Quant à ma morale, elle me brûle et agonit cette engeance ;
Ces misérables salauds capables de la plus grande hideur ;
Et de l’ignominie symbolisent les indignes ambassadeurs.

Ces extrémistes ; ces fanatiques issu d’un mauvais levain
Ne sont pas des hommes ; ce ne sont même pas des chiens ;
Tout juste de méprisables. . . D’abjects israéliens :
Des nuisibles qui croupissent dans leur immonde couvain.

Le peuple juif ressemble depuis longtemps, à tous les autres
Oui, car derrière la fausse excuse d’ancienne victime,
C’est chaque jour qu’il ment, spolie, tue et sous-estime.
Je le vois se complaire quand dans l’oppression il se vautre

Par crainte injustifiée de son complice de protecteur,
Les grandes puissances gesticulent pour faire du vent.
Quant aux pays arabes, la plupart aux mains de dictateurs,
S’ils osent élever la voix, faudrait pas que se soit souvent

Pour protéger mes frères falestiniens, que nenni.