Il fut un temps où George et moi étions amies, À l’époque où sa plume quittait l’Aurore endormie Pour se lancer sur les sentes de la célébrité ; Prenant part, farouchement, à la vie de la cité… Je lui offris mes services auprès d’un cœur rebelle, Une potion magique lui confiai, pour qu’elle l’ensorcelle D’antipathique, l’élu romantique la trouva divine Sur le piano lui dédia ses œuvres cristallines…