Ah, cruel malheur, les mots se sont envolés, L’affreux oiseau prédateur Bug, les a survolés, Les amicales pensées effrayées et affolées, Se sont évanouies dans le virtuel désolé… Ô gouffre létal, accepteras-tu de les restituer ? Leur résurgence, pourras-tu harmoniser ? Leur âme opalescente, voudras-tu libérer ? Qu’ils nous reviennent sublimés et azurés.