De tristesse à solitude, Puis de bonheur à mélancolie, Je fredonne cette douce mélodie, Et comme la feuille qui tombe, Je m'effondre, Dans ce dernier souffle, Souffle de vie, Telle une conspiration, Remplie d'émotions, Mais si vide à la fois, Seulement cette symphonie, Qui m'envahie, Tourne et tourne en rond, Dans cette valse sans fin, Une éternité, Dans les cœurs dévastés